Adeline Stals
Architecte - Portofolio académique
1er Master - Erasmus
Pas d'architecture sans structure
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« La structure extraordinaire d’un programme ordinaire »
Le projet s’est déroulé en trois temps avec en parallèle des recherches théoriques correspondant à une partie dite de séminaire.
La première partie consistait à transcender un programme de bureaux à travers la question de la structure qui était donc le point de départ de la réflexion. Ensuite, nous nous sommes attardés à comprendre la complexité des interventions entre le dessin et la forme bâtie, les échanges interdisciplinaires du processus de conception. Pour terminer, nous avons abordé plus précisément les matériaux, les méthodes de fabrication, durabilité… Pour cela, nous avons expérimenté le projet en maquette du tout aux parties.
Avec la participation de Dannie Kith
Barjols, ville frugale
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« Contempler la biodiversité pour mieux la préserver»
Barjols est un village situé dans le Var au milieu de vallons et collines. Du point de vue de la topographie, Barjols se trouve dans un théâtre naturel. Un clivage entre ville « haute » et vallon se fait ressentir essentiellement en raison de la topographie.
La problématique de départ est d’ordre relationnel; comment transformer une rupture en liaison ? En créant du lien, quelles relations instaurer, et surtout pour quel devenir ?
Le but est d’offrir des espaces de contemplation de la nature : des belvédères permettant une proximité avec le vallon tout en préservant voire favorisant le développement de la biodiversité.
Workshop
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Le site de l’Estaque (à l'Ouest de Marseille) était commun à tous les groupes. Une thématique différente était par contre imposée. Notre groupe reçut la rétrocession.
Dans une première approche du thème, la rétrocession nous évoquait un processus de retour à la nature, qui nous semblait limité face aux enjeux actuels, à la fois métropolitains et locaux, qu’ils soient économiques, culturels, identitaires ou sociaux et qui impliqueront une croissance urbaine dans un territoire relativement saturé, en relation avec un fort enjeu de mobilité.
Nous avons alors élargi notre conception de la rétrocession. De ce fait, nous avons envisagé la rétrocession comme un processus de restitution d'espaces privés ou en friche aux Estaquéens.
A une échelle plus locale, notre intervention s’inscrit dans deux logiques de restitution : ponctuelle au niveau de la voie ferrée, par l’installation d’arrêts de tram-train et l’aménagement d’espaces en friche ; linéaire sur le littoral, par une promenade piétonne scénarisée.